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Entraînement #2 – premier tour en Vallée de Chevreuse

Samedi 31 janvier 2015


Il est 9h du matin. Froid ! Près de zéro déjà dans Paris. Le froid « pince » mais se fait vite oublier après les premiers tours de roue et les premiers efforts.

D’autant que nous démarrons fort. A la sortie d’Issy-les-Moulineaux, nous attaquons par 4 km de montée pour 130m de dénivelée positive. Idéal pour se réchauffer ! Moins de pente que la semaine précédente, mais un effort plus long, plus soutenu qui passe assez naturellement. Nous sommes tous les deux au delà des 160 pulsations par minute. On y est ! J’en crois pas mes yeux en tandem n’est plus un projet. C’est une réalité.

La réalité, en ce samedi matin, c’est aussi les files de voitures qui nous offrent leur gaz d’échappements. Idéal en pleine montée. Pas de doute, le samedi n’est pas le top en Ile-de-France. Trop de circulation… Il va falloir nous concentrer sur le dimanche pour la suite.

Apprendre la synchro.

Nous sommes globalement plus à l’aise sur notre tandem. Comme le démontrent les petites pointes de vitesse (en descente) jusqu’à 60hm/h. Plus d’appréhension, donc. Le pilotage est définitivement proche de celui d’un vélo. A l’exception de quelques petits déséquilibres en slalomant entre les files de voiture, on se sent à l’aise. Pour ce qui est du pédalage, nous avons encore des progrès à faire. D’autant que nous ne partageons pas encore les mêmes pédales ! Alors que j’ai pu installer mes pédales automatiques Garmin Vector, Jérôme doit encore se contenter de pédales plates cette semaine, faute de chaussures adaptées. Pas idéal, donc pour « pédaler rond », c’est à dire transmettre son énergie tout au long du tour de pédalier. Les à-coups sur les phases ascendantes se font encore sentir. Mais le progrès est déjà très net, particulièrement dans portions « roulantes ».

La mythique vallée de Chevreuse…

Nous ne pouvions pas continuer nos entraînements sans aller poser nos pneus quelque part en vallée de Chevreuse ! Après les frayeurs du verglas à la sortie du bois de Verrières, cap sur le plateau de Saclay – vent glacial de face avec zéro degré – puis sur la longue descente (puis remontée) de Châteaufort : l’entrée dans la vallée de Chevreuse. Enfin moins de voitures. Enfin de la verdure, des espaces sans coup de freins tous les 100m. Nous en profitons !

Des moments de pur bonheur, quand les efforts de l’un et de l’autre se complètent à merveille, que le vent se fait oublier et que le pâle soleil d’hiver remplace les températures glaciales. Le tandem prend soudain tout son sens. Pour moi qui passe des heures absolument seul sur mon vélo habituellement, je découvre une autre dimension du sport.

Jérôme et Guillaume devant le monument à la gloire de Jacques Anquetil

Jérôme et Guillaume devant le monument à la gloire de Jacques Anquetil

Au passage, nous immortalisons cette « première » devant la stèle dressée en souvenir de Jacques Anquetil…

Conclusion

Après le « ouf » de la première sortie (« ça passe », donc on va y arriver), voici le plaisir de la seconde, malgré les conditions difficiles et le matériel pas encore totalement au rendez-vous. Alors, oui, on ne roule pas (encore) à 28 de moyenne. Oui, nous nous sommes satisfaits d’une sortie de moins de 70km. Oui, les 527m de dénivelée positive ne sont pas encore grand-chose comparés au mur du Ventoux. Mais nous étions encore en janvier. Notre expérience commune est encore faible. La marge de progression individuelle et surtout collective importante. Et puis, … vous êtes là. Tous ceux qui nous suivent, nous soutiennent. Alors, qu’est-ce qui pourrait nous arrêter ?